2020 est clairement derrière nous. L’heure du bilan a sonné et je dois dire que j’ai eu particulièrement du mal à le faire cette année. A trouver l’envie et la force de m’y mettre. A trouver le temps de me poser. Pourtant c’est l’un de mes articles favoris que je rédige d’année en année (pour lire les articles des années précédentes c’est par ici). Pouvoir retracer l’année écoulée, voir le chemin parcouru et en tirer des leçons. Faire le point sur ses objectifs ou envies… Cette année, j’ai eu l’impression qu’il n’y avait rien à dire pour résumer 2020… l’impression que l’année 2020 n’a duré que de janvier à mars et qu’après, ça n’a été que le covid et les confinements!
Personne ne s’attendait à ce que 2020 soit un tel chamboulement que ce soit dans nos vies personnelles, professionnelles, ou tout simplement dans notre quotidien. C’est comme s’il y avait eu un avant 2020 et un après! D’ailleurs, on se le dit entre nous, « la vie d’avant » quand on pouvait voyager, câliner nos proches, aller au resto, en terrasse ou simplement faire du shopping, fréquenter des musées et autres lieux touristiques. C’est comme si dorénavant l’avenir était devenu incertain et qu’on ne pouvait plus faire des plans sur la comète. C’est comme si le temps était suspendu…
On ne va pas le nier, 2020 est une année en demi-teinte (mi-figue, mi-raisin quoi!). L’année la plus bizarre, la plus intense, la plus rocobamlesque que j’ai connu et certainement vous aussi. C’est l’année du covid, des confinements, de l’isolement, de la solitude… l’année des doutes, de la peur, de la tristesse. De vraies montagnes russes émotionnelles! N’ayons pas peur de le dire… une année foirée en beauté, merdique par excellence mais en même temps, une année mémorable, une année historique! Oh oui, 2020 a été aussi incroyable que merdique et j’ai envie de n’en retenir que le positif, de mettre en lumière les joies et bonheurs que j’ai pu avoir.
Des petits & grands bonheurs
Avec ma petite citrouille à mes côtés, je dois dire que les petits bonheurs de la vie se sont imposés à moi cette année. J’ai envie de retenir davantage toutes les premières fois de ma fille plutôt que le covid. Ses premiers mots, ses premiers pas, ses premières escapades… ses premiers éclats de rire… Sa première rencontre avec sa tata ou son papy… Son premier voyage en avion… La voir évoluer, grandir, s’émerveiller de jour en jour… ce n’était que du bonheur! Ça efface tout le reste…ou presque.
Et comparé à mon année 2019 qui a été synonyme de stress (mon article sur mon licenciement enceinte) et d’une fatigue tellement intense (vive les hormones!!!), je dois dire que 2020 a été plus tranquille. Certes, je n’ai pas fait les voyages prévus (adieu road trip à Boston, New York et Toronto en automne ou notre Noël au Vermont) mais j’ai quand même eu la chance d’aller en France. J’ai profité de ma petite puce chaque jour. J’ai pu avoir l’amoureux à mes côtés bien plus souvent que ce que je n’aurai pu avoir si nous vivions encore en France. Entre son congé parental, le confinement et la quarantaine à deux reprises, il a été avec nous presque 4 mois. Ce sont des moments et des souvenirs que personne ne pourra nous enlever, peu importe la pandémie ou la catastrophe qui nous attend.
Au-delà de ça, j’ai levé le pied. J’ai repris un rythme plus sain grâce au premier confinement : faire du yoga le matin avec ma puce, cuisiner par plaisir, tester de nouvelles recettes colorées et saines mais aussi renouer avec la lecture. Et c’est là que j’ai compris à quel point j’en avais besoin pour ma santé mentale. Tout comme la création! Que ce soit l’écriture, la photographie, la couture…
L’année 2020 m’a forcé a être casanière mais aussi à profiter à 200% dès qu’on sortait en pleine nature. Après avoir passé 2 à 3 mois cloitrée, enfermée… aller faire une randonnée, des raquettes ou simplement d’emprunter la piste cyclable juste devant chez nous et de marcher en observant la rivière étaient un réel plaisir. Les chutes de la Chaudière, le parc des Sept chutes, le parc national Frontenac ou Jacques Cartier ont fait partie de nos escapades et plus belles découvertes. Tout comme le Bic et l’auberge du Mange-grenouille, l’autocueillette à la ferme Genest et le sublime jardin botanique de Montréal. Et lorsque les sorties étaient impossible, aller à l’épicerie et croiser d’autres humains faisaient mon bonheur. Avouez! Qui est allé sur un parking devant un resto ou un Tim Hortons pour manger tout en regardant des gens passés? Pour se sentir au restaurant comme avant…
2020 aura été particulière, isolée plus que jamais et en même temps l’année où j’aurai vu le plus mes proches. Que ce soit par WhatsApp, skype, vidéos interposées… je n’ai jamais passé autant de temps sur mon téléphone et à appeler mes proches. Comme beaucoup d’expatriés, la pandémie, la fermeture des frontières, l’isolement ont eu un impact sur mon expatriation. Je me suis sentie prisonnière de ma nouvelle vie à des milliers de kilomètres des gens que j’aimais. Cela m’a donné envie de rentrer plus souvent en France. Non pas de revenir y vivre mais de rentrer au pays pour voir ses proches plus régulièrement. J’espère pouvoir faire 1 à 2 voyages par an et mon statut de freelance ainsi que mon envie de faire l’école à la maison vont me donner cette souplesse de pouvoir voyager avec ma fille, peu importe la période de l’année.
D’ailleurs, c’est l’année où j’aurai pu serrer dans mes bras mes proches après trois ans d’absence! Ma petite soeur est d’abord venue rencontrer sa nièce en mars et découvrir notre si joli pays, juste avant la pandémie et le confinement. Et après avoir déprimé des mois, pleuré, ressentie un manque intense mais aussi un étouffement… ne sachant pas quand je la reverrais… nous avons pris la décision de rentrer en France. En plein covid! Après deux tests, des billets achetés et un compte en banque vidé pour payer nos billets d’avion, nous voilà en train d’organiser une escapade improvisée pour fêter le premier anniversaire de ma fille en août avec elle. Si vous me lisez depuis longtemps ici ou sur instagram, vous avez certainement compris qu’elle est ma seule famille. Elle est tout pour moi!
Bref, direction la Lorraine dans un premier temps : des vieilles pierres, de la mirabelle et du fromage à foison, de jolies balades et découvertes, des moments précieux entourés de mes plus précieuses amies, mes acolytes de longue date Caro et Alex ou des grand-parents de ma petite Citrouille. Quel bonheur de revenir à Nancy, de fouler les pavés de la Place Stanislas, de manger une glace à la Pépinière, d’admirer mes oeuvres favorites au musée des Beaux-arts et faire découvrir Kusama à ma fille. De se poser sur le banc de nos premiers rendez-vous, de découvrir de nouveaux endroits avec notre regard de touriste comme le jardin botanique ou la croisière sur la Meurthe. Une première semaine rythmée en visites, en resto, en copains et de doux moments avec mon beau-père et sa famille!
Seconde halte : chez ma petite soeur. L’occasion de découvrir l’Eure, sa nouvelle vie dans son domaine équestre Dolexia et de nous créer de jolis souvenirs en famille. Que de moments incroyables et mémorables ensemble : les couchers de soleil avec vue sur ses chevaux, notre journée à Disneyland Paris, la visite de Chartres ou bien encore du château de Maintenon sans oublier les 1 an de ma fille! Imaginer et préparer sa journée d’anniversaire, ramener la déco depuis le Québec et repenser cette journée à l’autre bout du monde entouré de ma soeur et son chéri. Que pouvais-je demander de plus? Après de longues heures au téléphone, en visio ou par vidéos interposées, de messages vocaux, quel bonheur et plaisir de pouvoir serrer ses proches! De pouvoir passer du temps avec eux… Avec un voyage organisé au dernier moment, sur un coup de tête, et avec des restrictions dues à la pandémie, je n’ai pas pu voir tout le monde et je le regrette. Il manque notre copine Zazou, mon amie Caroline et Audrey avec qui j’aurai aimé manger un morceau, papoter et voir nos enfants jouer ensemble. Heureusement, ce sera pour la prochaine fois!
Deux semaines de liberté, de bonheur, de câlins, de presque insouciance… deux semaines hors du temps! Deux semaines de bonheur! Une véritable parenthèse estivale magique. Une bulle d’amour dont j’avais vraiment besoin. Une bouffée d’air, d’amour et de liberté… qui, à peine rentrée, nous ont été à nouveau reprises. Le deuxième confinement est arrivé (et n’a jamais fini, en février 2021 nous y sommes encore) et heureusement que nous avions eu cette bulle de bonheur. Les milliers de photos prises et mini vidéos, m’ont permises de revivre ces doux moments lorsque le moral n’était plus là…
Du côté professionnel
Durant le confinement j’ai assez mal vécu cette course effrénée à la meilleure activité. Cette course à la productivité! Personnellement, j’ai jonglé entre yoga, activités avec ma fille et siestes. Je postais tous les jours ou presque sur instagram afin de garder une trace de ce moment historique que nous vivions. Tel un journal de bord, je voulais pouvoir me souvenir mais aussi mettre en lumière les petits moments positifs, de joie intense et d’amour. Avec une petite fille, je manquais cruellement de temps pour créer, produire du contenu… J’ai néanmoins lancé le collectif French expat blogueuses et ai réalisé plusieurs lives, challenges ou simplement discuter avec d’autres expats qui vivaient ce que je ressentais. Juste partager, se soutenir et se réconforter dans cette épreuve, que seule un autre expat peut réellement comprendre.
D’un point de vue professionnel, j’ai eu radicalement du mal à reprendre. Jusqu’en mai, j’ai savouré mon congé maternité et parental (merci le Québec pour ces 9 mois !!!). Et lorsque ce dernier pris fin, le covid et confinement était bel et bien là! La situation n’a pas aidé à ce que je retrouve des contrats ou même l’envie de travailler. La fatigue de ma vie de maman mais aussi le confinement m’ont épuisé. J’étais à bout de souffle. J’avais une folle envie de travailler mais j’en étais incapable. Je ne trouvais pas l’équilibre entre ma vie de maman et mon travail. Mais en novembre, quand mon monde s’est effondré et que j’ai dû remonter la pente, j’ai enchainé les contrats. Et c’est épuisée mais fière d’avoir réussi, que j’ai fini l’année 2020 et commencé la nouvelle année!
Cette année éprouvante m’aura confirmé qu’être créateur de contenu ne suffisait pas. Et ça tombe bien puisque je n’ai jamais aimé me « cantonner » à une seule chose. Mon côté hyperactive ou hypersensible m’ont poussé à cumuler les activités. La pandémie nous a fait se réinventer sans cesse et ne pas compter que sur une seule casquette. Depuis que je suis au Canada, je ne me définis pas comme blogueuse/journaliste, créatrice de contenu, photographe, webdesigneuse ou Community manager… J’aime la pluralité de ma personnalité, de mes compétences et me suis créée un métier correspondant à mes envies, mes humeurs. Je suis tantôt l’un, tantôt l’autre, tantôt tout à la fois et bien plus selon les clients, les contrats et le temps dont je dispose.
2020 m’aura également confirmé que je ne pourrai pas laisser ma petite Alice pour reprendre un travail salarié. Continuer en freelance ou faire des remplacements ponctuels, oui. Ma priorité, mon envie et mon besoin le plus profond sont d’être avec Alice. De la voir grandir, de l’aider à devenir la femme qu’elle sera demain. Et cela m’a étonnée et déroutée car j’ai toujours pensé avoir une belle et grande carrière professionnelle! Peut-être est-ce par ce que nous avons eu tant de mal à avoir cette petite fille? Ou tout simplement parce qu’elle me comble de bonheur et que je ne veux louper aucun moment de sa vie? Aucune idée. Je prends chaque jour comme il vient, m’adapte à son rythme et surtout remercie la vie pour tout cet amour, ce cadeau de la vie.
Séparation & maman solo
Etre jeunes parents, isolés et sans aucune aide/soutien, confinés dans un si petit espace a été tantôt un bonheur tantôt l’enfer. Tantôt l’amoureux travaillait tantôt il était confiné, au chômage ou en quarantaine… Il a fallu cohabité, trouvé un rythme et des routines. Penser à se préserver avec un petit bébé… ce n’était pas chose aisé, bien au contraire. Le stress constant de la pandémie, le manque de ma soeur et l’inquiétude envers elle, l’injustice de respecter les règles mais d’être punie, la charge mentale constante et le déséquilibre dans notre couple nous ont mené à notre perte. Je me sentais aller de plus en plus mal. Dégringolée. Perdre pieds. Ma petite bulle de bonheur commençait a s’amoindrir et était prête à exploser. La venue de ma soeur et notre voyage en France m’ont permis de reprendre le dessus mais l’amoureux, lui, a mal vécu ce voyage. Et cela nous a impacté encore un peu plus… jusqu’à l’explosion !
En novembre, tout a volé en éclat. Après 9 ans d’histoire d’amour, il a fallu une colère de plus, un miroir explosé pas loin de ma fille pour que je réalise et ouvre les yeux sur ma vie, mon couple. J’ai ressenti une force incroyable en moi. Du courage et une volonté de fer pour partir. Tout quitter. Abandonnée, isolée, incomprise… je me suis retrouvée plus seule que jamais et en même temps je me suis sentie soutenue et entourée par mes amies en France, ma soeur et par vous. Sans vous dire en détail ce qu’il se passait dans ma vie, vous m’avez été d’un soutien, d’un réconfort et d’une oreille attentive. Alors merci!
Cette séparation aura été intense et éprouvante. Nécessaire. Et cela m’a permis de me recentrer sur moi. De me reconstruire. De m’occuper de moi. Je pensais que c’était impossible avec un petit bébé qui me demandait beaucoup d’attention… mais cette séparation l’aura faite également grandir certainement. Elle a su voir quand ça n’allait pas, elle a su détecter le « danger » avant même que je ne m’en rende compte en se bouchant les oreilles ou en signant le signe peur. Et surtout, elle a été ma force à toute épreuve. Cette année 2020 a été difficile mentalement. Emotionnellement. J’ai vogué dans les eaux de la tristesse intense et profonde tout comme dans le bonheur.
En un mot…
2020 m’aura réappris le plaisir des petits bonheurs, la gratitude pour tous ces moments simples mais tellement plaisant. Réapprendre à se recentrer sur soi, sur l’essentiel… sur les siens, ses proches. 2020 est une année de merde globalement, mais je n’en garderai que de bons souvenirs.
J’aurai bien eu besoin que Dumbledore me répète qu’on « peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres » et il aurait eut entièrement raison. Alors cette année 2020 aura été à la fois la pire et la meilleure! Et je m’en souviendrai longtemps. Peut-etre qu’un jour j’en rigolerai mais pour l’instant, elle a encore un petit goût amer. Finalement 2020 m’aura appris à relativiser, lâcher prise et me dire que je n’y peux rien. Que je n’ai pas le contrôle sur ce que les autres font, ressentent ou disent. Alors je me raccroche à ces petits riens, insignifiants pour d’autres mais tellement important pour moi. Ces petits bonheurs du jour qui peuvent effacer tous les mauvais instants de la journée. Le sourire de ma fille ou un tendre bisou de sa part, suffisent à me faire oublier la fatigue, la tristesse, la colère…
2020 aura été une année où j’aurai fait de belles choses, des choses cool en plus de tout ce que je viens déjà d’évoquer. Je retiendrai surtout la chance d’avoir pu revoir et profiter de ma soeur à deux reprises, d’aller à Disneyland Paris, de revoir les amies durant l’été… J’ai découvert de chouettes lieux, fait de belles randonnées et ai pu en prendre pleins les yeux. J’ai fêté Thanksgiving, Halloween puis Noël avec ma petite citrouille et pu la voir s’émerveiller devant ces petites traditions que je mets en place doucement. Bref, j’ai profité d’elle, partagé mon coeur… mon âme avec elle!
Cette année, je vous ai partagé les parties les plus sombres de ma vie… à demi mots et parfois en MP. Je me suis ouvert à vous sur mon rôle de maman, mes désillusions et principes abandonées en terme d’éducation. Cette année, j’ai été très proche de vous, plus qu’à l’habitude durant le confinement ou pendant ma séparation. Bienveillance et soutien ont guidé nos échanges! J’ai également fait plus de live, de challenge et d’évent avec les blopines expats ou non, ce qui m’a fait le plus grand bien. Je me suis sentie moins seule à l’autre bout du monde!
Et pour 2021?
Après les tempêtes de la fin d’année, le tumulte de mes sentiments, le vent a tourné. Les jours meilleurs ne sont qu’à venir… même si ce deuxième confinement m’épuise et m’isole encore plus.
J’ai la chance d’être en bonne santé, d’être la maman d’une petite fille incroyable, d’avoir repris le travail avec des clients qui ont les mêmes valeurs que moi. J’ai pu découvrir à quel point je suis passionnée par la parentalité et maternité. Je souhaite lâcher prise et continuer à prendre soin de moi. M’accorder plus de temps pour m’épanouir, créer car j’ai pris conscience à quel point c’était vital pour moi. Pour mon équilibre. J’ai envie de voyager dès que cela nous sera permis également. Je souhaite profiter de la vie, me polluer moins la tête avec les soucis du quotidien. Apprendre à mieux gérer mon hypersensibilité. Et être toujours plus présente pour ma fille. Réussir à trouver l’équilibre entre elle et moi, elle et ma vie pro. Côté coeur, le 01 janvier, comme un nouveau départ, on s’est redonné une chance avec l’amoureux. Seul l’avenir nous dira si on a eut raison, mais pour l’instant, on surmonte nos difficultés et on se retrouve peu à peu…
Avant de vous laisser ici, j’aimerai vous souhaiter le meilleur pour cette nouvelle année (même si elle a déjà bien commencé). Qu’elle soit ensoleillée et pleine d’amlour, de bienveillance et quelle soit l’accomplissement de vos rêves les plus fous. Osez! Si 2020 nous a bien appris une chose, c’est qu’il faut oser et profiter! Je vous souhaite de pouvoir serrer vos proches dans vos bras, de pouvoir manger au resto et boire un verre en terrasse, de partager et d’aimer plus fort que jamais.
Bref, je vous souhaite d’être heureux et de prendre soin de vous, soin de votre santé mentale! Et n’oubliez pas de croire en la magie…
Je vous embrasse,
Sarah
Les idées SoAddict says
Salut ma Sarah,
Je viens de découvrir ton article où tu te livres mais vraiment. Je me suis dit Ouawwww quel courage ma Sarah. Bravo et j’espère que tu vas bien. Vas-tu revenir ici en France ?
Tu me manques malgré nos activités personnelles et professionnelles.
J’espère te revoir vite ça ferait du bien.
Bisous
Sophie
Soulier vert says
Merci ma belle Sophie!!!
Je reste au Canada et redonne une chance à notre couple. On verra ce que l’avenir nous réserve… Moi aussi, nos apéros&blogs, sorties et activités me manquent.J’espère que lors de l’un de mes prochains retours en France, on pourra se voir…
Bisous ma belle,
Laurane says
Même si 2020 n’a pas été une année facile, j’ai beaucoup aimé lire ton article. Tu t’es beaucoup livrée, et je pense que ça t’a également fait du bien 🙂 Alors je te souhaite que 2021 t’apporte plein de bonheur : d’incroyables découvertes avec votre fille, une nouvelle chance en amour, et aussi plein de restaurants et de terrasses.
Prend soin de toi.
Laurane,
Instagram : aboutlaurane
aboutlaurane.com
Soulier vert says
Merci beaucoup ma belle, tes mots me font très plaisir!!!
Tu as raison, ça m’a fait du bien et je ne me voyais pas « cacher » et faire comme si de rien était…
Prend soin de toi également 😉